dimanche 1 mai 2011

Au chômage incessamment sous peu...

Après 9 ans de bons et loyaux service au sein d'une multi-nationale américaine, me voilà à la porte, et surtout sur le pas de porte de l'ORP.... Licenciée fin février, c'est donc au 1er juin que tout s'arrête et la valse des séances d'infos et autre joyeusetés va commencer.

La nouvelle lois sur le chômage étant une connerie son nom, j'ai au moins la chance*, de juste vieillir à temps (je viens d'avoir 30 printemps), ce qui m'évite au moins d'être obligé d'accepter n'importe quel job à n'importe quel prix.

Malheureusement pour moi, une trentenaire, mariée et déjà mère d'un môme, n'est pas vraiment la panacée pour un recruteur potentiel....

Je sens donc que je vais entreprendre le parcourt du combattant d'ici peu. La première étape étant aller m'inscrire au chômage via ma commune de résidence et y choisir une caisse. (en sachant que ma commune ne dépasse pas les 400 âmes, je te laisse imaginer les heures l'heure d'ouverture une fois tous les 36 du mois...

Allons sourions à la vie, c'est le 1er mai, la fête du travail, c'est forcément un signe, si j'ai eu l'idée de génie (ou pas) d'ouvrir un blog pour raconter ma petite vie de chômeuse trépidante (ou pas) sur le départ ! Surtout que c'est un peu tout nouveau pour moi, la case chômage je n'y suis passé que 2 mois et demi dans ma vie à la sortie de mon diplôme... C'était donc il y'a fort fort longtemps....

Voilà cher lecteur, chômeur ou non, si tu passe par là, un mot d'encouragement, une blague nul et cynique, des astuces, des proposions de job, je suis ouverte à tout, ou presque !



* Si on m'avait dit qu'un jour je serais contente de vieillir hein....

2 commentaires:

  1. Bon ben merde, quoi, et que ça ne dure pas trop longtemps.

    RépondreSupprimer
  2. j'ai vu ton poste sur les commentaire qu'on fait aux chômeurs, je s'en que je vais vite y avoir droit. J'ai été licencié mi-février, avec 3 mois, donc au 1er juin.... :-((

    j'espère aussi, mais pas pour n'importe quoi, c'est cela ma plus grande crainte !

    RépondreSupprimer

ouvre toi, lâche toi, commu-niquons !